Qui peux corriger les fautes présentes dans ma rédaction svp ? (Au passage, n'hésiter pas à changer l'ordre des phrases ou la reformulation de quelque passages.

Qui peux corriger les fautes présentes dans ma rédaction svp ?
(Au passage, n'hésiter pas à changer l'ordre des phrases ou la reformulation de quelque passages. Et si mon texte rentre bien dans le vif du sujet qui est : Faites le portrait de quelqu'un qui compte ou a beaucoup compté pour vous. Analysez, au fils du texte, ce que vous devez à cette personne importante à vos yeux.)

J'ai 14 ans et j'ai toujours été fière d'avoir une belle grande famille avec une grand-mère adorable et en forme malgré son vieil âge. J'avais du mal à aller la voir de temps en temps à cause des kilomètres qui nous séparent. Ainsi, je la visitais un peu moins mais ne l'oubliais pas. Arrivée à mon plus jeune âge en France alors que je n'avais seulement neuf mois, c'était la première à m'avoir serrer dans ses bras. La première à m'avoir traité comme son propre fils. Elle a toujours été la pour moi. Lorsque j'avais cinq ou six ans, j'étais je crois en grande section de maternelle et on avait à réviser les mots appris en classe. Ma mère ne savait ni lire ni écrire, mais à l'époque je l'ignorais et ainsi, pour les révisions, c'était elle qui faisait le contrôle en faisant semblant de suivre ce que j'ai à réciter. Je me souviens qu'il y avait des images et que je devais lui dire le nom de chacune. C'est comme sa que j'ai appris le sens des objets, ce qu'elle valait. Au fur et à mesure que je grandissais, je passais toutes mes vacances chez mes grands parents, j'en oubliais presque mes parents même. Mais aux alentours de treize ans, je n'y prenais plus vraiment goût d'aller rendre une visite chez ma grand-mère, d'aller dans la maison ou j'ai grandis. Je préférais voir mes amies plutôt de parcourir des kilomètres pour aller la voir.

Mais à ce jour, je regrette. Maintenant qu'elle n'est plus là, je m'en veux. Je m'en veux tellement d'avoir refuser ces quelques instants qu'elle me consacrait avant de partir de ce monde sans un au revoir… Cela est intervenu durant la nuit du 10 décembre 2014, sans que personne ne le sache. La mort intervient d'un moment à l'autre sans nous prévenir. Et elle fait mal quand elle attaque un être chère important à nos yeux. Je crois que la dernière chose que je lui ai dit, c'était un oui. Si j'aurai la possibilité de revenir en arrière, je changerai ce oui par un je t'aime. Comme je ne lui ai jamais dis d'ailleurs… Je le disais à mes anciennes petite amie qui n'était qu'une simple visite dans ma vie, mais jamais à ma grand-mère qui elle, m'a donné tant d'amour et d'affection…

Et depuis ce jour-là, je n'ai jamais négligé de rendre visite à une personne qui, au moment à un autre, pourrait disparaître. Je devais lui consacrer du temps, des moments partagés avec elle que j'ai refusé. Et aujourd'hui, je le regrette. Cette anecdote évoquée est un souvenir qui sera marqué dans mon enfance. C'est mon bonheur perdu.


Merci,